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GwenAlices
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  • Noël J-3

     

    Dinde farcie

     

     

     

                                                                                                                                         Noël J-3

     

     

    Et oui, Noël c’est dans trois jours.

    Nous pourrions penser que tous les cadeaux sont achetés, emballés et cachés sous le lit ou au-dessus de l’armoire parentale. Parce que c’est bien connu, ces lieux mystérieux sont les meilleures planques de la maison… Quel gosse aurait l’idée de grimper sur une chaise pour aller fouiller au-dessus d’une armoire, ou de plier les genoux pour regarder sous un lit, histoire de mettre la main sur ces cadeaux de Noël avant l’heure ? Cela dit ce n’est pas très grave puisque, non, tous les cadeaux n’ont pas encore passés la caisse du supermarché.

    À trois jours de l’évènement de l’année, j’entends encore :  Au fait, tu ne m’as pas dit ce que tu veux pour Noël ! Avec en prime un petit air de reproche.

    Parce que oui, mesdames et messieurs, si à trois jours de Noël certains proches n’ont toujours pas trouvé de cadeau qui vous ferait plaisir. Si à ces trois jours de Noël, période de rupture de stock nationale au rayon « trucs qui font vraiment plaisir et valeur sûre », c’est votre faute ! Sachez-le !

    Vous auriez tout de même pu faire une liste et leur envoyer. Et puis, c’est pareil, à chaque fois que l’on vous demande ce que vous voulez, c’est toujours la même réponse, ce fameux « je ne sais pas ». A ce moment si vous regarder bien, vous pourrez lire dans leurs yeux : Ben, si toi tu ne sais pas ce que tu veux, comment veux-tu que je devine ?! Moment magique…

    Et bien… Comment vous dire ça ? Tout simplement, vous pourrirez deviner ce qui nous ferait plaisir, parce que vous êtes (un peu quand même) sensé nous connaître. Au moins un minimum.

    Toute l’année vous nous voyez lire les aventures du grand aventurier et héroïque Gribouille, le Roi des Grenouilles (tout le monde n’a pas le même sens littéraire). Vous nous voyez, nous goinfrer de Kinder Bueno. Ça devrait déjà vous mettre sur la piste. N’allez pas nous offrir le coffret collector des ouvrages de Balzac, avec un sachet d’Orangettes.

    J’ajouterais, que poser cette question, qui est déjà légèrement vexante dès le départ, à trois jours de la dinde, ça me donne presque envie de vous farcir le derrière de marrons (des gros...très gros) et vous servir à dîner aux cochons.

    Je rappelle que Noël, ça tombe tous les ans à la même date. Tous les ans on ne recalcule pas la date de naissance du petit Jésus selon les phases lunaires. Non, chaque 24 décembre, on se gave des oies que l’on a gavées toute l’année, on boit, on chante et on s’engueule si possible avant la bûche (c’est pour le côté ambiance familiale). Le 25, on récupère notre gueule de bois au fond du lit, on se lève et on recommence. Ce n’est pas une date qui se définie trois semaines à l’avance. Aucun présentateur de BFM TV, fait une annonce fracassante annonçant que Noël cette année, pourrait bien tomber le 7 Octobre.

    Alors comment vous pouvez vous permettre de vous rappeler notre existence trois jours avant la fête ? Ça donne plutôt l’impression que vous vous sentez obligé de nous faire un cadeau, que vous avez tout fait pour tenter d’éviter cette corvée. Surtout que l’on vous connait. Vous êtes du genre à organiser les fêtes de Noël dès la fin du mois d’Août. Déjà sur les plages de Palavas-les-Flots vous nous faites chier avec Noël. Et chez qui on le fait cette année ? Et on sera combien ? Et qu’est-ce qu’on mange ? Parce qu’à vos yeux c’est important d’anticiper ce genre d’événement. Vous nous avez même envoyé la liste des cadeaux de Noël pour vos mioches, début Novembre. Et là ! À trois jours de Noël vous osez nous reprocher de ne pas vous avoir dit ce qu’on souhaitait sous le sapin ?

    Vous savez ce que vous méritez ? Un coffret d’échantillons gratuits de chez Yves Rocher avec un sachet d’Orangettes !

    Ah, oui…Et si vous pouviez vous étouffer avec un morceau de dinde, ça mettrait de l’ambiance et ça me ferait plaisir ….

    Joyeux Noël quand même 

  • Le Culot à du bon

    Aujourd’hui je vais vous parler du culot. Pas du culot déplacé comme on peut le rencontrer chez certaines personnes, mais du culot qui nous permet d’oser tenter les choses.

    J’entends souvent dire, que seul le travail paie. C’est faux. Le travail, à lui seul, ne paie pas.

    Prenez par exemple un ouvrier, que nous appellerons Raphaël (parce que j’adore ce prénom tout simplement).

    Raphaël se lève tôt chaque matin pour se rendre sur le chantier, et travaille dur chaque jour sans rien demander.

    Est-ce que son patron, va aller le voir un beau matin en lui disant qu’il à remarqué ses efforts et que pour cette raison, il a décidé de lui accorder une augmentation ? Bien sûr que non.

    Maintenant prenons l’exemple de Guillaume (parce que je manque d’inspiration et que la personne en face de moi se prénomme Guillaume, tout simplement).

    Guillaume est un collègue de Raphaël, ils travaillent tout les deux sur le même chantier, font la même chose toute la journée, à la différence près que Guillaume, lui,  arrive chaque matin un peu plus tard que Raphaël, et fait certes son travail, mais pas plus que demandé et à un rythme moins soutenu que Raphaël.

    Tout les deux, aimeraient beaucoup obtenir une augmentation. Pour ce faire, Raphaël va travailler un peu dur en espérant que son patron va finir par s’apercevoir de ses efforts et, qu’un beau jour, il va réaliser que Raphaël mérite un allongement de salaire.

    Guillaume, quant à lui, ne va rien changer à ses habitudes. En revanche, un soir après sa journée de travail, il va solliciter un entretien avec son patron. Entretien pendant lequel il va « oser » demander une augmentation.

    D’après vous lequel des deux sera augmenté ? Celui qui attend que son travail et ses efforts soient reconnus, ou celui-ci qui a osé aller frapper à la porte du bureau pour tenter d’obtenir ce qu’il veut ?

    Celui qui aura osé demander, évidemment.

    Et Raphaël lorsqu’il va apprendre que Guillaume, à réussi à obtenir une augmentation, plutôt que d’aller également frapper à la porte de son patron pour réclamer ce que lui aussi à mérité, il va juste poser une question : Pourquoi et comment Guillaume qui travaille moins et qui arrive en retard chaque matin, a décroché une augementation ?

    La réponse est toute simple. Parce que Guillaume est allé la demander. Il n’a pas attendu, que ça tombe tout seul. Il a eu lel culot d'aller demander. Guillaume le savait. Le seul risque qu’il prenait en osant, était de se voir signifier un refus. Ce qui n’aurait rien changé à son quotidien. Seulement en osant, il s’est surtout donné une chance de parvenir à ses fins. Son culot à payé.

    Rien ne tombe du ciel avec des prières. Et même si je trouve que c’est bien dommage, parce que je vous assure que si tel était le cas, je vivrais sous une pluie de Kinder bueno, dans la vie si le mérite par le travail est une réalité (rappelons que Guillaume bossait moins mais bossait quand même), ce n'est qu'un premier pas vers la réussite.  Si l'on n'ose pas avoir le culot de demander ce que l’on veut, d’aller démarcher un client, de postuler à un poste même si notre CV n’est pas tout à fait compatible avec le profil recherché, rien ne se passera. Personne ne viendra frapper ànotre porte pour réaliser nos voeux.

    Vous resterez là, à regarder une autre personne, avoir le culot d’oser faire ce que vous, vous n’avez pas osé faire et obtenir ce qui aurait pu vous revenir.

    Alors maintenant que vous avez compris qu'avoir du culot n'est pas toujours un vilain défaut, faites une liste de ce que vous aimeriez avoir sans oser le demander ou sans oser le faire.

    Prenez votre culot par la main, respirez un grand coup, n'ayez pas peur, du Non et osez prendre le risque d'obtenir ce que vous désirez.

    A très vite

    KissouLove

    GwenAlices

  • le travail en Open Space

    Depuis presque 1 an, nous avons la grande chance de partager un espace de travail appelé : Open Work. Il faut bien avouer que dit de cette façon, ça fait presque rêver.

    Pour tout ceux qui n’ont pas notre chance, je vais vous résumer en quoi consiste l’Open Work et surtout ce que cela implique vraiment.

    Pour les autres, heuu…. et bien vous allez certainement vous reconnaitre, et dans ce cas-là, sachez que je compatis (sauf si vous êtes ce gros beauf de Jérôme, là je vous maudis sur trois générations).

    Comme chacun le sait, il y a eu l’avant Covid et l’après Covid. Et oui, BFM TV nous avait prévenue, notre vie ne sera plus comme avant. Et pour une fois, je dois admettre que la chaine avait raison.

    Avant le Covid ou la Covid, de toute façon je n’ai jamais compris pourquoi il y avait un débat là-dessus. Que ce soit dit au féminin ou au masculin, ça ne rend pas la chose moins dangereuse et moins contagieuse mais bon ! Donc, avant Coco (comme ça je règle la question du genre et je le/la rends plus sympathique), je partageais un bureau avec une collègue, plutôt sympa avec qui je pouvais parler de sa vie et de la mienne (surtout de la mienne), sans que qui que ce soit ne vienne troubler nos 2 pauses journalières d’environ 2h chacune.

    J’en entends déjà certains dire : Oh mais tu te rends compte, 2 pauses de 2h, ça fait 4h de pause par jour. Sur une journée de 8h, c’est la moitié... Blablabli blablabla… Ceux à quoi je répondrais : … et bien  rien du tout, parce que ces personnes ont tout à fait raison, c’est abusé !

    De toute façon, la question ne se pose plus, car ça, c’était la vie avant l’arrivée de Coco dans nos vies.

    Juste à la sortie de notre énième confinement, nous avons eu la joie d’intégrer notre nouvel espace de travail que nous appelons l’Open Work, plus connu sous le nom d’Open Space. C’est juste le terme qui change, histoire de ne pas déprimer les gens trop vite.

    Pour résumer, un Open work, qui signifie littéralement « travail ouvert » n’est d’open que le nom.

    Nous sommes une trentaine de personnes, dénommé « Collaborateurs » parqué dans une grande pièce inchauffable mais climatisée, avec une température moyenne de 16 c°. Inutile de vous dresser mon portrait, ceux qui me connaissent savent que je travaille en moufles et doudoune.

    Chacun d’entre nous à la joie et le bonheur d’avoir un collègue à sa gauche, et un collègue à sa droite. Ce qui veut dire qu’il est impossible d’afficher quoi que ce soit sur son écran sans que Monsieur Droite ou Madame gauche ne voit ce qui s’y passe. Je peux vous assurer que le taux de visite sur les sites de ventes privées et les commandes de vibromasseurs ont considérablement chutés dans l’entreprise depuis 1 an. Pas facile de regarder Jérôme (le voisin de gauche) dans les yeux après que son regard se soit porté sur notre écran affichant le dernier modèle double-tête rotatives de chez Marinette la Reine de Sucette. (Mes excuses à toutes les Marinette qui liront ces phrases, même si je suis persuadée qu’elles en ont entendu d’autre…).

    En face de nous, nous avons aussi un collègue (je vous l’ai dit nous sommes encerclés), collègue qui ne peut s’empêcher de vous dévisager au moindre geste. Il vous regarde boire votre thé, manger votre Kinder Buenos comme un chien qui regarde un steack en osant espérer que vous aller partager. Pour rappel, ce n’est pas parce que les Kinder Buenos sont par sachet de deux, que cela signifie que je vais partager. Je ne suis pas Wilfried Tsonga (le tennisman de la pub pour les incultes) et on n’est pas dans une pub, je ne partage pas son Kinder Buenos ! Ce point étant éclairci, il faut avouer que grâce à tout les Guillaumes (le collègue d’en face), je remarque que le curage de nez devant son écran d’ordinateur n’est plus tellement pratiqué. Une coutume se perd visiblement. Ce qui serait presque un encouragement à resserrer des mains. J’ai bien dit presque, parce que Guillaume à beau fliqué les curages de nez, il n’est pas habilité à vérifier le lavage des mains après les pipis. Finalement Coco avec sa distanciation social à du bon, plus de bises, plus de serrage de mains. Maintenant on se dit bonjour comme des pingouins, on se tape les coudes.

    En parlant de se taper les coudes, je voudrais que chacun marque une minute de silence pour les augmentations et les évolutions de certaines (et de certains pourquoi pas) qui depuis 1 an ne peuvent, que, se taper des coudes. Open Work oblige, plus de bureau fermé, que des grandes baies vitrées. Fini les genoux irrités par la moquette et les crampes à la mâchoire entre midi et deux. Open Work, est aussi synonyme de NPNF (No Pipe No Fric). Maintenant il faut bosser et mériter. De toute façon comme le port du masque est obligatoire et qu’il est formellement interdit de le retirer dans les espaces partagés, ça rend la chose moins pratique.

    L’avantage du masque, c’est que chacun garde son haleine et doit l’assumer. Pas facile pour certains qui ont dû avoir une prise de conscience. En tous les cas, moi je n’ai plus peur de rester en apnée quand Stéphane vient me demander si j’ai un trombone à lui dépanner.

    Quand les gens font la gueule, on ne le voit plus. Ça nous évite de nous sentir obligé de leur prêter notre épaule pour chialer. Maintenant ils font la gueule à leur masque, ça arrange tout le monde (surtout moi).

    Le masque devient un accessoire incontournable aujourd’hui. Il est multifonction. On est tous des MacGyver du masque. Les petits jeunes qui ne connaissent pas MacGyver, merci de demander à Google.

    Aujourd’hui, le masque sert à nous protéger (ou pas) de Coco. Si on a une envie de se moucher, hop on sort un vieux masque du sac et l’affaire et réglé. En repliant les bords ça fait une mini-poubelle de poche (trognon de pomme, sachet de Kinder Bueno, tickets de caisses qui traînent…) j’ai aussi eu l’occasion, malgré moi, de me rendre compte qu’il pouvait aussi servir de récupérateur de glaire. Plus besoin de chercher un mouchoir et de se tourner discrètement pour cracher dedans. On tousse, on crache, et hop on change de masque. Incognito !

    L’Open Work, s’est aussi le partage de la vie professionnelle et personnelles des gens. Quand Jérôme à une réunion en visio ou une Conf call comme on dit maintenant (parce que « appel groupé » ça sonne moins classe), même si des bulles (pièce de la taille de Wc d’une Tiny House, dans laquelle on peut s’isoler pour téléphoner) lui préfère rester au milieu de tout le monde et parler comme s’il était seul dans la pièce. Ce qui a bien évidement tendance à agacer, voire à énerver, l’ensemble des autres personnes présentes. Mais Jérôme s’en fou. En plus si l’une des personnes à côté de lui parle, tape trop fort sur son clavier ou respire trop fort Jérôme s’énerve, il grogne, il se plaint de ne pas entendre son interlocuteur. Et comme Jérôme est taillé comme teddy Riner (les jeunes filés sur google) personne ne lui dit rien, tout le monde lui sourit.

    Autre exemple d’intimité de l’Open Work, quand Géraldine doit prendre rendez-vous pour son frotti annuel, tout le monde connait le jour et l’heure de son rencard avec un speculum. Si Gwen décide de délaisser sa pomme pour manger un cookie au chocolat, tout le monde lui tombe dessus en lui rappelant qu’elle est au régime et que ce n’est pas à coup de gâteaux qu’il va rentrera de nouveau dans un 38 et qu’à son âge, les kilos incrustés sont plus coriaces qu’il y a 10 ans.

    Solidarité et convivialité, étaient les mots d’ordre et les objectifs de l’Open Work. Lexomil et dépression auraient été plus proche de la vérité.

    Après, il y a aussi des bons moments, comme ceux où, en un regard croisé avec sa collègue préférée on éclate en fou rire que l’on tente de dissimuler, ce qui rend la situation encore plus drôle. Ou quand o tout le monde pense que l’on travaille comme des acharnés parce que notre clavier crépite comme un dingue, alors que l’on est en train de balancer les pires horreurs sur Martine, la collègue de la RH qui s’habille en Désigual et ne dit bonjour qu’aux cadres supérieurs. Ou tout simplement, quand Jérôme est en congé…

    GwenAlices

  • Kinder ou Tinder

    Tinder ou Kinder

    Pourquoi préférer le chocolat plutôt que les hommes ?

    C’est assez simple à comprendre.

    Ce que nous voulons, nous les femmes, c’est un homme avec qui l’on se sent en sécurité. Un homme qui nous rassure. Un homme qui va nous aimer et s’accrocher à nous, sans jamais nous lâcher.

    Et bien, le chocolat lui fait ça !

    Il nous rassure, il nous réconforte même. C’est vers lui que nous courrons quand un homme nous fait pleurer.

    Un beau jour, vous allez rencontrer une tablette de chocolat dans le rayon de votre magasin habituel.

    Vous allez la regarder, hésiter.

    Elle va vous regarder, finir par vous séduire.

    Vous allez craquer et hop... vous finirez la soirée avec elle.

    Le meilleur rencard de votre vie !

    C’est vous qui décidez de quand vous la déballez et de quand vous la dégustez.

    Que vous soyez en robe de soirée ou en jean, épilée ou pas épilée, la tablette de chocolat elle vous aime comme vous êtes.

    Et après cette douce soirée de gourmandise, vous pouvez être certaine qu’elle sera encore là le lendemain !

    Elle fera désormais partie de votre vie. Elle ne vous quittera plus. Elle va s’accrocher à vos hanches et à vos fesses comme jamais un homme n’osera le faire.

    Plus jamais elle ne vous lâchera, et croyez-moi, aucune autre femme ne pourra la détourner de vos petits bourrelets. (sauf une très bonne coach sportive et une immense volonté).

    Réfléchissez-y !

     

    PS : Messieurs, ceci est à prendre avec humour, bien que derrière toute blague se trouve une part de vérité. Sachez que je vous aime... après le chocolat bien sûr...